10 sept. 2024

Non, les taux hypothécaires ne sont pas trop élevés

Dans un commentaire intitulé «Die Hypothekarzinsen sind nicht 'zu hoch'», publié par la NZZ le 13 août 2024, le journaliste Michael Ferber analyse la situation du marché hypothécaire en Suisse, suite à l’acquisition de Credit Suisse par UBS. Selon lui, les taux d'intérêt hypothécaires, bien qu'élevés, ne sont pas excessifs et le marché continue d’offrir une concurrence saine grâce à la diversité des acteurs. Il souligne que la Suisse, avec plus de 200 banques, offre un environnement concurrentiel solide, où les banques cantonales dominent le marché avec 37% des parts, suivies de près par UBS (23%) et Raiffeisen (17%).

Ferber réfute l'idée que les taux hypothécaires soient maintenus artificiellement élevés par un oligopole bancaire. Au contraire, le marché reste compétitif, malgré le retrait de Credit Suisse. Cependant, il admet que certaines banques profitent de la situation en n'ajustant pas immédiatement leurs taux après les baisses opérées par la Banque nationale suisse. Pour lui, cette lenteur de réaction ne signifie pas pour autant que le marché est dysfonctionnel.

Il critique également les acheteurs qui, par ignorance ou par commodité, continuent à signer des contrats hypothécaires sans comparer les offres disponibles. Ferber insiste sur l’importance de se renseigner et de comparer les taux auprès des différents acteurs du marché, comme les assurances et les caisses de pension, qui proposent également des solutions hypothécaires souvent méconnues. Selon une étude de la Haute École de Lucerne, les courtiers hypothécaires n'ont qu'une part de marché de 3,5% en Suisse, bien inférieure aux 30 à 40% en Allemagne. Cette différence reflète un comportement conservateur des acheteurs suisses, qui privilégient les banques traditionnelles.

En conclusion, Ferber estime que le véritable problème n’est pas les taux en eux-mêmes, mais le manque de diligence des clients dans la recherche de meilleures offres. Si les consommateurs prenaient le temps de comparer les conditions, ils pourraient économiser des sommes importantes sur le long terme.

Est-ce que les prix montent ou baissent? Nos réflexions, nos analyses, nos conseils et le point de vue des meilleurs experts. 

Le marché

Marché immobilier difficile pour les vendeurs

Au troisième trimestre 2024, les volumes de transactions immobilières en Suisse ont atteint leur plus bas niveau depuis 2017, avec une baisse de 10% par rapport à la moyenne des 10 dernières années. Ce recul reflète un ralentissement général du marché.

Le marché

La BCE baisse encore son taux directeur

Les bonnes nouvelles s'accumulent pour les propriétaires. La Banque centrale européenne (BCE) a une nouvelle fois abaissé son taux aujourd'hui, le passant à 3,25%. La pression à la baisse des taux d'intérêts se poursuit ainsi, favorisant les intérêts des propriétaires.

Emprunter pour acheter est plus intéressant
Le marché

kiiz dans le Quotidien Jurassien

De nombreux propriétaires ignorent encore qu'il existe une alternative à la coûteuse commission de courtage. Cela s'appelle le courtage au forfait. Explications dans cette interview du Cofondateur de kiiz.

Emprunter pour acheter est plus intéressant
Le marché

Emprunter pour acheter est plus intéressant, selon 24H

La baisse des taux hypothécaires rend l'achat immobilier plus accessible en Suisse. Tel est le constat que fait 24 Heures dans son édition du 9 octobre 2024. Or, s'il y a plus d'acheteurs, c'est bon pour les vendeurs.

La BNS baisse ses taux directeurs
Le marché

Bonne nouvelle pour les propriétaires: la BNS baisse ses taux

La baisse du taux directeur de la BNS à 1 % stimule la demande immobilière en rendant les prêts moins coûteux. Cela favorise les vendeurs de maisons ou d'appartements, en augmentant le nombre des acheteurs

Le marché

Baisse des taux aux US, encore une bonne nouvelle

La baisse du taux de la Fed favorise la demande immobilière en Suisse, stabilise les prix et facilite les ventes pour les propriétaires privés, tout en offrant des conditions de prêt avantageuses.

Le marché

Baisse des taux en Europe, quel impact ici?

La baisse des taux d'intérêts se poursuit en Europe. Bonne nouvelle pour les acheteurs qui vont pouvoir emprunter à de meilleures conditions. Et donc bonne nouvelle pour les propriétaires-vendeurs

Le marché

Etat du marché immobilier au 1er semestre 2024

Les propriétaires qui cherchent à vendre leur bien veulent savoir où ils mettent les pieds. Nous faisons ici un point de situation sur l'état du marché au premier semestre 2024.

Le marché

Devenir propriétaire: le rêve reste possible

Cet article de la NZZ am Sonntag montre qu'il reste possible de devenir propriétaire aujourd'hui, à condition de s'éloigner des centres. Il présente une carte intéressante du prix des logements au m2 partout en Suisse.

Le marché

Divorcer quand on est propriétaire

Il n'est pas rare qu'un bien immobilier doive être mis en vente au moment d'un divorce. Cet article de la NZZ passe en revue les problèmes et les solutions qui s'offrent aux couples propriétaires

Nos conseils
Nos conseils

Nos réponses aux propriétaires

Tous les propriétaires se posent les mêmes questions. Sur la base des expériences accumulées sur le terrain depuis 2018, nous fournissons ici les réponses aux légitimes interrogations de ceux qui ont l'intention de mettre leur bien en vente.

Nos conseils
Nos conseils

Ne pas attendre en vain le «bon moment»

Vaut-il mieux mettre en vente sa maison au printemps ou en automne ? Cette année ou l’année prochaine ? Notre réponse à une question qui revient souvent.

Nos conseils
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Ne pas vendre seul

Pourquoi mandater un courtier? La question était légitime à l'époque où il n'existait pas d'alternative aux commissions salées des courtiers. Elle ne l'est plus aujourd'hui. Nos explications.

Nos conseils
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Ne pas croire au «carnet d’adresses»

«J'ai des acheteurs pour votre bien, venez chez moi!» C'est une promesse récurrente dans la bouche des courtiers. Que vaut-elle? Rien. Nos explications.

Nos conseils
Nos conseils

Ne pas craindre le mandat exclusif

L'idée paraît logique: donner sa maison à vendre à trois courtiers pour avoir trois fois plus de chances de trouver un acheteur. Pourtant, c’est une fausse piste. Explications.

Nos conseils
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Profiter de l'intelligence statistique

S'il y a un virage qu'il ne faut pas rater, c'est le premier, à savoir la fixation du prix de mise en vente de votre maison. Etape délicate qu'il faut franchir avec le soutien des statistiques, l'aide d'un courtier expérimenté - et du bon sens.

Nos conseils
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Savoir écouter le marché

Vendre au meilleur prix est à la portée de tous les propriétaires, à deux conditions: 1) choisir le bon courtier et 2) savoir écouter le marché. Nos explications.

Nos conseils
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Ne pas croire qu'il suffit d'attendre

Combien de temps pour vendre? Il n'y a pas de réponse scientifique à cette question. Dans tous les cas, la gestion du temps est un facteur-clé d'une vente réussie. Nos explications

Nos conseils
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Ne pas miser sur Photoshop

Ce qui est beau se vend mieux. Alors pourquoi ne pas embellir un peu les photos de votre bien pour le rendre encore plus attractif? Erreur de débutant! Nos explications.

Nos conseils
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Visites: viser la qualité pas la quantité

Multiplier les visites n'est pas un but en soi. Ce qui compte, ce sont les visites réalisées avec des personnes réellement intéressées. Pour y arriver, il y a une méthode. Nos explications.

Nos conseils
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Ne pas croire que la commission motive

Les courtiers à l'ancienne prétendent que la commission au pourcentage les motive à vendre le plus cher possible pour gagner le plus possible. Ce qui sonne comme un argument pétri de bon sens n'est que tromperie. Nos explications.

Nos conseils

Les avantages du forfait kiiz

Dans cette interview, Marc Comina, le cofondateur de kiiz, explique la différence entre les prestations de sa société comparée aux autres offres au forfait.

Interview sur les avantages du forfait kiiz sur le courtage traditionnel à la commission
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Forfait ou commission?

Dans cette interview, Marc Comina, le cofondateur de kiiz, explique la différence entre les prestations de sa société comparées au courtage traditionnel.